Didascalies dystopie obsidionale quérulence Elle, nomme le territoire encore-toujours inconnu de lui, lui assiégé par sa beauté, et incapable de la ligne directe Fantôme de quelqu'un, sûrement, entre ces deux là, juste entre Longtemps trop sage là où elle ne s'est pas usée, réchappée Il assume, il compte, il classe Parfois tout s'emboite, alors vogue très haut la brune Parfois celà même compose Seuls ses yeux proposent le merveilleux d'à côté Faux refus Le cycle tourne encore Et compte sur toutes les autres fois Nous fêterons nos cent ans, je décrète une foule chantante, des fleurs, des chèvres et de l'extase
A sainte eulalie du cyberdong Seules les femmes sourient encore en soupirant Déjà aux effluves de la nuit puis au parfum unique Eux, terres de rien, inquiets de biens, n'offrent que l'absence entre Mais un vrai train, qui secoue bien, qui va goutte à goutte vers le grand escalier De la gare et de sa contre-fenêtre j'y scrute les passants du milieu ceux qui ouvrent malgré l'arrêt Y-quelques jolies brunes, l'uniforme persiste à la beauté mûrie pourtant Un vrai train-sourire Elle regarde dans mon sac comme moi dans son décolleté: sans se cacher J'ai très tôt su que je rentrerai entre ville et campagne
Car toutes les dernières oeuvres sont perdues A. Londres brûle en mer Changaï-Marseille: sans retour Question de foule, vagues de parole Et la septième redonnera voix Nouvelle guerre dans le creux des coffres Nous sommes le compost de nos jours Dubaï s'effondre sur son désert du monde, je ne fais qu'écouter Celui qui pose grosse paluche et odeur forte, pleine Sur le ventre du petit fébrile Mais viendra une bibliothèque De l'ombre du bien et du mal Démon léger de l'ennui du je