Laissez-nous, laissez-nous survivre la tempête Celle qui vient, prévenez-nous encore Dites nous: plus de marche par marche Mais déjà ce grand souffle pélerine Et les sirènes de brume déclenchent ravissent Et regardent dans le courant Sévère gradient Alors nous faisons tous la même chose: tenir: contact Cercueil de tous les avant de toutes les coupes de soleil de famille
Ce soir à nouveau un ciel éclate, mais différent Le fils et le père reçoivent et posent questions Sur l'herbe épuisée, rase, pâle et dure se déchiffrent les tumuli millénaires Bogues vides et craquantes Clairières habitées L'espace horizontal maîtrisé: l'enfant Le temps vertical: par l'adolescent Et le père se dilue dans le tout-Un Il n'y a pas de nouveaux chênes possibles aux pieds des centenaires
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merci Ajmone... les chênes sont nos racines.<br />
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L
Lucie Trellu
18/01/2009 21:41
Inspiration celte dans ces mots... Pourtant au pied des grands chênes, les glands sont à l'abri pour s'épanouir... merci pour ces mots où l'on sent la sensibilité d'une âme que la merveille habite...
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merci beaucoup... et bravo au fluide poétique qui circule entre nous, car malgré le titre trompeur, il s'agit d'une scène de Cornouailles... mais peut-être après-tout la saudade a-t-elle du sang<br />
celte ? sans doute ... j'irai revoir vos arbres !<br />
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