Les sark'homes sont des tumeurs développées aux dépens des tissus sociaux dits de soutien, c'est-à-dire de la charpente de l'organisme, les services publics;
on disait du Kapo Zi, qui a donné son nom à la maladie, qu´il avait piqué la fille de son maître, sa maison, sa chaire et sa clientèle
(sources: IGR/wikipédia/septième vague/philobof tapopulïstes tome II)
Dans sa déconstruction de la République, N. Sarkozy n'a fabriqué qu'une chose, des murs. Centres de rétention administrative, gardes à vue, racisme d'état, frontières, et autres suicides en prison.
Y. C. Zarka, Le mal et la pensée
Bracelets-GPS, caméras de surveillance, screening des enfanys en âge scolaire, ré-enfermement psychiatrique. Invention d'une identité nationale fermée. Nouveaux camps autour des nouveaux marginaux, contagieux, intellectuels précaires, et autres décroissants volontaires qui encombrent les marges, seules dynamique pourtant d'une europe économiquement déconfite. Pourtant Nicolf Karcher ne se déplaçait jamais sans une usine d'armement clefs en main, toujours prêt à soutenir une bonne busherie de guerre ! Cela fait encore débat, et se heurte à l'incrédulité de nombreux universitaires: mais au début du vingt-et-unième siècle, des chefs d'état pouvaient impunément vendre des armes de guerre, et même retirer de ces contrats une certaine légitimité auprès de leurs sujets !!!
... Cet état français devenu limite (au sens psychiatrique du terme), aller vers des cieux plus aimants et plus pensants, la non-pensée des masses totalitaires ayant gagné les "veaux" gaulliens:
"Déchéance de nationalité en cas "d'atteinte à la vie d'un policier" ou de polygamie,
démantèlement des camps illégaux de Roms, installation massive de caméras de surveillance ou encore port du bracelet pour délinquants multirécidivistes… l'ensemble des mesures avancées par N. Sarkozy bénéficia alors du soutien d'une solide majorité de Français...
Bye bye ! Honteux, je courus demander la déchéance de ma nationalité. On me trouva bien un arrière-grand-père belge et un vol de cacahuètes à l'école maternelle. Garde à vue, rétention, charter, Ouf !
"Les Français aiment la voiture" et Nicolf Karcher soutient l'industrie automobile, cet avenir écologique, ce modèle de société d'avenir, etc..., tout en laisant vieillir le système ferroviaire et en évitant toute mesure qui rendrait le fret routier moins attractif que le ferroviaire, celà va de soit. Vous avez dit Grenelle ??? Comme le résume si bien ATTAC (bulletin d'informations du 2/2/09), "piétinant ses propres modestes engagements en faveur de l'écologie, le gouvernement Sarkozy appelle une croissance – qui de toute façon ne reviendra pas de sitôt – sans s'interroger sur le bien-fondé des aides à des secteurs en difficulté au moment où il faudrait commencer à penser à leur reconversion".
... il l'est d'abord par le fait de mauvaises décisions et de politiques mal conduites ; il l'est plus encore par les fautes morales qui ont été commises à l'encontre du pacte républicain. Du côté des mauvaises décisions, il y a d'abord ce parti pris constant en faveur de la centralisation. Le résultat se caractérise par une concentration sans précédent du pouvoir de décision au palais de l'Elysée, par une dévitalisation des hiérarchies intermédiaires et par une défiance assumée envers les collectivités locales. La centralisation, c'est aussi la myopie envers les périphéries : les banlieues, les territoires ruraux et ceux d'outre-mer, les populations marginalisées ou celles qui n'ont pas accès aux décideurs publics car elles ne disposent pas de représentations institutionnelles, cette "France d'à-côté" qui est aussi la France et que la puissance publique ignore ou délaisse.
Il y a ensuite la révision générale des politiques publiques (RGPP) (...) Recevable dans ses principes généraux, la RGPP aura surtout profité à des consultants privés, mais elle aura manqué l'essentiel de ses objectifs. Elle n'a pas, ou si peu, engendré d'économies ; elle s'est pour l'essentiel traduite par des fermetures de sites et une tension accrue sur l'accueil du public.
(...) Mais il y a aussi les fautes morales. Jamais, depuis la Libération, un parti, sinon même un clan, n'avait opéré une telle mainmise sur l'appareil d'Etat. En fait d'Etat irréprochable, nous avons assisté à l'interventionnisme dans la vie des médias et des grandes entreprises et à l'immixtion constante dans le cours de la justice (...) Nous avons entendu les paroles de mépris envers les magistrats, les enseignants, les chercheurs (...)
"Je prône un libéralisme social. Je vais faire la différence en montrant vraiment que le libéralisme n'est pas antinomique de l'action sociale et de la solidarité et que c'est de cette combinaison dont le pays a besoin. Je vais renforcer la création de richesse, promouvoir la productivité, la créativité, tout en travaillant à gommer les inégalités majeures. Dans un pays comme le nôtre, où la majorité de la population est sans travail et sans couverture médicale, il faut que l’Etat apporte des solutions".
- un candidat "socialiste" à la présidence de la république française, 2027, dans l'hypothèse où la révolution anti-libérale n'est pas survenue encore;
- Macky Sall, candidat social-libéral à la présidence de la république du Sénégal, 2012